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Foire aux questions



Voici les réponses aux questions les plus fréquemment
posées sur la chiropratique.

• Qu’est-ce que la chiropratique ?

Si nous analysons l’étymologie grecque du mot chiropratique, nous nous rendons compte qu’il signifie « fait à la main ». En effet, la science chiropratique se fonde sur les traitements manuels des articulations vertébrales ou autres. Ce type d’approche aide à soulager la douleur et à restaurer le fonctionnement normal des articulations et du système nerveux. En effet, la moëlle épinière étant protégée par la colonne vertébrale, un mauvais fonctionnement de cette dernière pourrait provoquer une irritation du système nerveux. Les soins chiropratiques visent à détecter, à corriger et à prévenir cette problématique. L’approche chiropratique est donc une alternative naturelle au soulagement de la douleur. Le chiropraticien, par ses ajustements vertébraux et ses recommandations (exercices, posture, etc), se veut un partenaire dans le recouvrement de la santé de ses patients.

Source : site officiel de l’Association Chiropratique Canadienne, www.canadianchiropractor.ca/

• Comment se définit la subluxation vertébrale ?

La subluxation vertébrale se définit comme étant une altération du mouvement normalement présent entre deux ou plusieurs vertèbres de la colonne vertébrale. Elle peut être causée par différents facteurs. Les causes de la subluxation vertébrale les plus facilement identifiables sont sans conteste les chutes, les accidents de voiture, les faux mouvements, l’adoption d’une mauvaise posture et les mouvements répétitifs. Cependant, le stress, qu’il soit physique ou émotionnel, est aussi un facteur déclencheur souvent sous-estimé par les patients.

Cette modification de la biomécanique normale de la colonne vertébrale aura comme conséquence l’irritation d’un ou de plusieurs nerfs, souvent décrite, à tort, comme un nerf pincé. Il en résultera alors de la tension musculaire et une inflammation localisée. Ce phénomène, pouvant être initialement asymptomatique, se manifestera de différentes façons (ex : douleur, raideur). Malheureusement, la subluxation vertébrale disparaît rarement elle-même, c’est pourquoi il est important de consulter un chiropraticien afin qu’il puisse identifier et corriger ces subluxations.

• Comment se déroule la première visite à la clinique ?

Avant de commencer les traitements, la chiropraticienne procédera à l’examen initial qui comprend un questionnaire de santé, une discussion avec la chiropraticienne sur l’apparition et l’évolution des symptômes, de même que sur les antécédents médicaux et les habitudes de vie du patient. Suivra l’examen physique, incluant l’analyse de la posture, des amplitudes de mouvements, des tests orthopédiques et neurologiques. Par la suite, la chiropraticienne évaluera la mobilité de la colonne vertébrale et la présence de tensions / spasmes musculaires. Finalement, la chiropraticienne décidera de la pertinence, ou non, de prendre des radiographies de la région à traiter. Les résultats de l’examen ainsi que le plan de traitement vous seront expliqués à la deuxième visite, après que la chiropraticienne eu terminé l’analyse de l’ensemble du dossier. Notez que dans certains cas, la chiropraticienne décidera de faire un traitement à la première visite, cela dépendra de plusieurs facteurs dont l’état du patient.

• En quoi consiste un traitement chiropratique ?

La base du traitement chiropratique est l’ajustement vertébral. Selon l’Ordre des Chiropraticiens du Québec, l’ajustement chiropratique se définit comme étant : « une procédure thérapeutique (manipulation articulaire), dont la force, la direction, l’amplitude et la vélocité sont contrôlées ». Cela permettra d’améliorer l’amplitude du mouvement articulaire. La chiropraticienne utilisera aussi des techniques de tissus mous, afin de détendre la masse musculaire. De plus, différents conseils vous seront donnés concernant les exercices, la posture et l’hygiène de vie.

Chaque patient ayant une condition unique, il est important de savoir que le traitement sera adapté en fonction de la présente problématique mais aussi en fonction de facteurs tels que l’âge et la taille du patient. Ainsi, la technique utilisée lors du traitement, de même que la fréquence et la durée des visites varient d’un patient à l’autre.

Source : Site officiel de l’Ordre des Chiropraticiens du Québec, www.ordredeschiropraticiens.qc.ca

• Y a-t-il des douleurs associées au traitement chiropratique ?

Bien que certains patients puissent ressentir un léger inconfort suite à leur traitement, en raison de la présence d’inflammation ou de tensions musculaires, les ajustements chiropratiques sont sécuritaires et généralement sans douleur. Si de l’inconfort est ressenti par le patient, la chiropraticienne modifiera l’approche afin de rendre le traitement plus confortable. Elle recommandera aussi l’application de glace suite au traitement afin de limiter la douleur reliée à l’inflammation.

• Est-ce possible de recevoir des traitements chiropratiques sans «craquement» ?

Tout à fait ! La cavitation, communément appelée « craquement », est en fait la résultante du déplacement de bulles gazeuses dans le liquide présent dans l’articulation. Il n’y a donc rien qui casse ! Bien que ce phénomène ne soit pas douloureux, certaines personnes ne se sentent pas à l’aise avec le fait d’entendre des craquements lors de leur traitement. C’est pourquoi il est très important de le mentionner à votre chiropraticienne, qui utilisera une technique de traitement différente, soit à l’aide de ses mains ou encore d’un instrument spécialisé. Le traitement se fera alors sans cavitation et sera tout aussi efficace.

• Combien de temps dois-je recevoir des soins chiropratiques ?

Chaque patient ayant une condition qui lui est propre, le nombre de traitements nécessaire pour obtenir un soulagement varie d’une personne à l’autre. Plusieurs facteurs sont à considérer, particulièrement la sévérité et la chronicité des symptômes. De plus, la durée des soins variera en fonction des résultats que le patient désire obtenir. Généralement, le soulagement des symptômes est l’étape la plus rapide. Cependant, si le patient désire stabiliser sa condition, le nombre de traitements sera plus important et encore une fois variera selon la condition et la technique utilisée. Finalement, plusieurs patients choisissent d’intégrer les soins chiropratiques réguliers dans leurs saines habitudes de vie. Tout est une question de choix.

• Pourquoi les enfants devraient-ils être traités en chiropratique ?

Combien de fois voyons-nous nos enfants tomber, se relever et continuer leurs jeux ? Ces chutes peuvent parfois paraître anodines. Cependant, elles représentent un impact pour la colonne vertébrale de l’enfant… Il en va de même lors d’une naissance difficile ou encore avec le port inadéquat d’un sac d’école, généralement trop lourd. L’enfant ne se plaindra pas nécessairement de douleur au dos, cependant l’accumulation de ces stress sur la colonne peut avoir un impact à long terme. C’est pourquoi, nous recommandons une vérification régulière de leur colonne vertébrale. De plus, les techniques d’ajustements seront modifiées dans le but de répondre aux besoins spécifiques de l’enfant, en fonction de son âge, de sa taille et sa condition.

• Quelle est la formation des chiropraticiens ?

Au Québec, le futur chiropraticien doit compléter un doctorat de premier cycle universitaire, d’une durée de cinq ans, enseigné à l’Université du Québec à Trois-Rivières, incluant un stage clinique d’une durée de dix-huit mois, en milieu universitaire. Pendant ses études, l’étudiant en chiropratique recevra une formation, entre autres, en anatomie, en neurologie, en biomécanique, en radiologie et en techniques d’ajustements.

Aussi, il existe plusieurs autres écoles chiropratiques à travers le monde, dont une à Toronto (Canadian Memorial Chiropratic College) et plusieurs aux États-Unis. Cependant, peu importe où l’étudiant en chiropratique aura complété ses études, il devra obligatoirement s’inscrire et réussir les examens de l’Ordre des Chiropraticiens du Québec pour obtenir son droit de pratique au Québec. De plus, le chiropraticien devra demeurer membre en règle de l’Ordre des Chiropraticiens du Québec et renouveler annuellement son permis de radiologie chiropratique pour pouvoir pratiquer.

Source : Site officiel de l’Association des Chiropratique du Québec, www.chiropratique.com

• Quelles sont les différences entre la chiropratique, la physiothérapie et l’ostéopathie ?


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